COMPTE-RENDU DE LA RENCONTRE CARTIGNIES- IC FERRIERE : 1-3
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COMPTE-RENDU DE LA RENCONTRE CARTIGNIES- IC FERRIERE : 1-3
YES THEY CAN !
Ce dimanche, à Cartignies, les joueurs de l’IC Ferrière ont réalisé une excellente prestation. Et se sont imposés fort logiquement chez l’un de leurs concurrents directs (3-1)…
Victorieux la semaine précédente du derby face à Villers-sire-Nicole (5-2), les Ferrièrois se voyaient présenter l’occasion de conforter leur place de leader ce week-end. Le déplacement qui attendait l’ICF n’avait pourtant rien d’une sinécure. Il faut dire que le chemin menant à un succès lors d’un déplacement à Cartignies est souvent jalonné de la particularité suivante : vaincre l’action conjuguée du vent, d’un terrain en pente, d’une pelouse aléatoire et d’une adversité des plus agressives. Disposé depuis quelques matches en un 4-5-1 laissant transparaitre certaines failles, le bloc sambrien débuta cette fois dans un 4-4-2 plus offensif. La paire Aladavid-Hubert, placée aux avant-postes, ne tarda pas à se montrer à son avantage. Si le dernier nommé marqua dans le but vide, c’était parce que son acolyte s’était déjà chargé de faire le ménage (0-1, 12ème). L’entame de match, on le savait, allait être prépondérante. Elle fut clairement négociée de mains de maîtres par les visiteurs. Les offensives castriciniennes venaient de buter à plusieurs reprises sur l’intransigeance de Demarbaix et Decourtray. Et l’ICF enfonça le clou. Sur un corner mal dégagé, Hubert réalisait l’enchaînement parfait. Contrôle de la poitrine en pivot, reprise de volée instantanée, lucarne ! (0-2, 32ème) Le doublé de son entraîneur-joueur venait de placer la troupe ferrièroise sur la voie royale. Elle faillit emprunter définitivement l’autoroute de la victoire sur quelques actions rondement menée (34ème, 36ème et 39ème). Mais tout ce joli petit monde s’en alla se désaltérer après que Dziewior eut été balancé dans la surface sans provoquer la moindre réaction du corps arbitral (42ème)…
Liénard ôte tout suspense
Conscients de la chance qu’ils avaient d’être encore plus ou moins dans le coup, les locaux se lancèrent alors dans un pressing haut dès le début du second acte. Il fallut d’ailleurs toute la vigilance de Bourgeus sur des tentatives lointaines (52ème, 58ème) pour éviter à ce match, pourtant maîtrisé par l’Iris, de basculer dans un hourra-football hasardeux. Malgré la blessure de Decourtray, les Ferrièrois restèrent organisés. Il y avait certes beaucoup moins d’allant offensif qu’au préalable. Mais l’abnégation collective dans le défi physique ne connaissait que très peu de soubresauts. Alors que Djebbar venait de voir sa tentative en angle fermé être repoussée par le gardien castricinien (67ème), Bourgeus se montra encore décisif sur un duel à bout portant (72ème). On se disait alors que plus rien ne pouvait arriver de grave à l’ICF. C’était sans compter sur ce petit lob adverse qui acheva sa trajectoire dans les filets des « Rouge et Blancs » ! (1-2, 87ème) Un semblant de suspense revint donc hanter la fin de rencontre. Mais Liénard le renvoya tout de go dans ses pénates (1-3, 89ème). Pour le coup, son festival dans la surface, ponctué d’un tir en angle fermé parfait, sonna comme la conclusion idéale d’une rencontre parfaitement gérée par la bande à Boutmeur. Quinze jours après avoir cédé sa première place à Rousies (0-1), la réserve ferrièroise mène à nouveau la danse. Avant l’alléchant interlude offert par la réception de Bachant en Coupe Hiernaux le 23 novembre prochain, les coéquipiers des frères Leclercq tenteront de continuer leur belle série dès dimanche. En recevant Solre-le-Château, un autre postulant à la montée, l’Iris aura la possibilité de repousser à nouveau un assaillant déterminé. Mais en y mettant la même rage et la même détermination que ce dimanche à Cartignies, nul doute que ce duel ne sera pas non plus de tout repos pour les Solrésiens. La Digue en salive d’avance…
Grégory Lallemand
Ce dimanche, à Cartignies, les joueurs de l’IC Ferrière ont réalisé une excellente prestation. Et se sont imposés fort logiquement chez l’un de leurs concurrents directs (3-1)…
Victorieux la semaine précédente du derby face à Villers-sire-Nicole (5-2), les Ferrièrois se voyaient présenter l’occasion de conforter leur place de leader ce week-end. Le déplacement qui attendait l’ICF n’avait pourtant rien d’une sinécure. Il faut dire que le chemin menant à un succès lors d’un déplacement à Cartignies est souvent jalonné de la particularité suivante : vaincre l’action conjuguée du vent, d’un terrain en pente, d’une pelouse aléatoire et d’une adversité des plus agressives. Disposé depuis quelques matches en un 4-5-1 laissant transparaitre certaines failles, le bloc sambrien débuta cette fois dans un 4-4-2 plus offensif. La paire Aladavid-Hubert, placée aux avant-postes, ne tarda pas à se montrer à son avantage. Si le dernier nommé marqua dans le but vide, c’était parce que son acolyte s’était déjà chargé de faire le ménage (0-1, 12ème). L’entame de match, on le savait, allait être prépondérante. Elle fut clairement négociée de mains de maîtres par les visiteurs. Les offensives castriciniennes venaient de buter à plusieurs reprises sur l’intransigeance de Demarbaix et Decourtray. Et l’ICF enfonça le clou. Sur un corner mal dégagé, Hubert réalisait l’enchaînement parfait. Contrôle de la poitrine en pivot, reprise de volée instantanée, lucarne ! (0-2, 32ème) Le doublé de son entraîneur-joueur venait de placer la troupe ferrièroise sur la voie royale. Elle faillit emprunter définitivement l’autoroute de la victoire sur quelques actions rondement menée (34ème, 36ème et 39ème). Mais tout ce joli petit monde s’en alla se désaltérer après que Dziewior eut été balancé dans la surface sans provoquer la moindre réaction du corps arbitral (42ème)…
Liénard ôte tout suspense
Conscients de la chance qu’ils avaient d’être encore plus ou moins dans le coup, les locaux se lancèrent alors dans un pressing haut dès le début du second acte. Il fallut d’ailleurs toute la vigilance de Bourgeus sur des tentatives lointaines (52ème, 58ème) pour éviter à ce match, pourtant maîtrisé par l’Iris, de basculer dans un hourra-football hasardeux. Malgré la blessure de Decourtray, les Ferrièrois restèrent organisés. Il y avait certes beaucoup moins d’allant offensif qu’au préalable. Mais l’abnégation collective dans le défi physique ne connaissait que très peu de soubresauts. Alors que Djebbar venait de voir sa tentative en angle fermé être repoussée par le gardien castricinien (67ème), Bourgeus se montra encore décisif sur un duel à bout portant (72ème). On se disait alors que plus rien ne pouvait arriver de grave à l’ICF. C’était sans compter sur ce petit lob adverse qui acheva sa trajectoire dans les filets des « Rouge et Blancs » ! (1-2, 87ème) Un semblant de suspense revint donc hanter la fin de rencontre. Mais Liénard le renvoya tout de go dans ses pénates (1-3, 89ème). Pour le coup, son festival dans la surface, ponctué d’un tir en angle fermé parfait, sonna comme la conclusion idéale d’une rencontre parfaitement gérée par la bande à Boutmeur. Quinze jours après avoir cédé sa première place à Rousies (0-1), la réserve ferrièroise mène à nouveau la danse. Avant l’alléchant interlude offert par la réception de Bachant en Coupe Hiernaux le 23 novembre prochain, les coéquipiers des frères Leclercq tenteront de continuer leur belle série dès dimanche. En recevant Solre-le-Château, un autre postulant à la montée, l’Iris aura la possibilité de repousser à nouveau un assaillant déterminé. Mais en y mettant la même rage et la même détermination que ce dimanche à Cartignies, nul doute que ce duel ne sera pas non plus de tout repos pour les Solrésiens. La Digue en salive d’avance…
Grégory Lallemand
Greg la Grosse Pense- Messages : 94
Date d'inscription : 19/08/2008
yes we can yes we do
yes we can
C’était l’essence même des documents fondateurs déclarant la destinée de la Nation :
Oui, nous pouvons.
C’était dit à voix basse par les esclaves et les abolitionnistes ouvrant un chemin vers la liberté :
Oui, nous pouvons.
C’était chanté par les immigrants débarquant de lointains rivages et par les pionniers poussant plus avant vers l’ouest faisant face à une nature impitoyable :
Oui, nous pouvons.
C’était l’appel des travailleurs qui se sont syndiqués, des femmes qui ont gagné le droit de vote, d’un Président qui a choisi la lune comme notre nouvelle frontière, et du pasteur King qui majestueusement nous a emmené au sommet d’une montagne et nous a montré la Terre Promise.
Oui, nous pouvons réaliser la Justice et l’Egalité !
Oui, nous pouvons créer les opportunités et la prospérité !
Oui, nous pouvons guérir cette Nation !
Oui, nous pouvons réparer ce monde !
Oui, nous pouvons !
Nous savons que la route sera longue mais souvenons nous toujours que peu importent les obstacles se trouvant sur notre chemin ; rien ne peut faire obstacle à des millions (11 je préfère, enfin 14 :voire 20) de voix appelant au changement.
Les cyniques nous ont dit en chœur que nous ne pouvions pas le faire.... Ils vont seulement parler plus fort et plus faux….. On nous a demandé de faire une pause pour revenir les pieds sur terre. On nous a dit de faire attention à ne pas offrir un faux espoir au peuple de cette Nation.
Mais dans l’improbable histoire qu’est l’Amérique (Ferrière) même, il n’y a jamais eu rien de faux dans l’espoir !
Aujourd’hui, les espoirs d’une petite fille qui va à l’école à Dillon (au collège lavoisier) sont les mêmes que les rêves d’un garçon qui apprend dans les rues de Los Angeles (de la digue) ; Nous savons que quelque chose se passe en Amérique (à ferrière); que nous ne sommes pas aussi divisés que nos politiciens (mec de la A) le suggèrent ; que nous somme un peuple uni ; nous sommes une Nation ; et ensemble, nous allons ouvrir le prochain chapitre de l’Histoire américain (ferrièroise) avec ces trois mots (quatres mots) qui vont retentir de tous les côtés du pays, d’un océan à l’autre… :
Oui - nous - pouvons montés!
C’était l’essence même des documents fondateurs déclarant la destinée de la Nation :
Oui, nous pouvons.
C’était dit à voix basse par les esclaves et les abolitionnistes ouvrant un chemin vers la liberté :
Oui, nous pouvons.
C’était chanté par les immigrants débarquant de lointains rivages et par les pionniers poussant plus avant vers l’ouest faisant face à une nature impitoyable :
Oui, nous pouvons.
C’était l’appel des travailleurs qui se sont syndiqués, des femmes qui ont gagné le droit de vote, d’un Président qui a choisi la lune comme notre nouvelle frontière, et du pasteur King qui majestueusement nous a emmené au sommet d’une montagne et nous a montré la Terre Promise.
Oui, nous pouvons réaliser la Justice et l’Egalité !
Oui, nous pouvons créer les opportunités et la prospérité !
Oui, nous pouvons guérir cette Nation !
Oui, nous pouvons réparer ce monde !
Oui, nous pouvons !
Nous savons que la route sera longue mais souvenons nous toujours que peu importent les obstacles se trouvant sur notre chemin ; rien ne peut faire obstacle à des millions (11 je préfère, enfin 14 :voire 20) de voix appelant au changement.
Les cyniques nous ont dit en chœur que nous ne pouvions pas le faire.... Ils vont seulement parler plus fort et plus faux….. On nous a demandé de faire une pause pour revenir les pieds sur terre. On nous a dit de faire attention à ne pas offrir un faux espoir au peuple de cette Nation.
Mais dans l’improbable histoire qu’est l’Amérique (Ferrière) même, il n’y a jamais eu rien de faux dans l’espoir !
Aujourd’hui, les espoirs d’une petite fille qui va à l’école à Dillon (au collège lavoisier) sont les mêmes que les rêves d’un garçon qui apprend dans les rues de Los Angeles (de la digue) ; Nous savons que quelque chose se passe en Amérique (à ferrière); que nous ne sommes pas aussi divisés que nos politiciens (mec de la A) le suggèrent ; que nous somme un peuple uni ; nous sommes une Nation ; et ensemble, nous allons ouvrir le prochain chapitre de l’Histoire américain (ferrièroise) avec ces trois mots (quatres mots) qui vont retentir de tous les côtés du pays, d’un océan à l’autre… :
Oui - nous - pouvons montés!
el magnifico- Messages : 6
Date d'inscription : 21/08/2008
Depuis un changement de devise...
In Meldy We Trust
El coach sucheur- Messages : 78
Date d'inscription : 19/08/2008
Age : 43
Localisation : Neuf-Mesnil Style, fout donc ton gilet pare-balle...
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